Deuxième volet d’une réflexion sur la révolte des peuples, cette chorégraphie puise dans la culture urbaine et les rythmes traditionnels arabes pour questionner la course sociale effrénée. Le langage des corps exprime aussi bien la folie des rapports de force ou la fragilité que le plaisir de vivre et d’exister. La transe n’est jamais loin, l’atmosphère est électrique.
Le duo des chorégraphes Souhail Marchiche et Mehdi Meghari livre une danse sincère et engagée sur les limites de l’Homme et sa capacité à résister à son propre système. Ancrée dans le territoire de Saint-Étienne, leur compagnie Dyptik poursuit sa quête sur l’identité et le rapport à l’autre. Pour mieux explorer ce qu’il y a de plus intime et viscéral en chacun de nous.